Liverpool

Il faut que vous écoutiez les Beatles pendant que vous regardez les photos. N’importe quelle chanson. Allez sur youtube. Choisissez votre chanson préférée. Ou pour les paresseux, cliquez sur mon lien. C’est un must. Tout ça pour dire que ça fait du bien de voir un peu de soleil.

Parler dans un téléphone rouge au UK. Check.

Un parc.

Moi qui marche.

Les voitures en sens inverse.

Liverpool Metropolitain Cathedral. 4e édifice le plus laid du monde.

N’empêche. Je veux mourir là. Il y a le set à DJ et une place immense pour faire le party. Avec Jésus qui nous regarde.

Amen.

La cathédrale est laide, mais la vue est belle. Let’s dance!

Ciel bleu. Chantons en choeur!

Une expérience magique. Un des musées les plus cheesy ever. Mais bon. Allez pas le dire à Paul.

Cheesy reconstitution de The Cavern.

Tant qu’à faire, marchons sur Penny Lane !

Prenons l’avion pour New York avec Les Beatles !

Prenons toutes les substances de l’époque psychédélique!

Faisons semblant d’être au mémorial Strawberry Fields!

Malgré tout, le musée cheesy m’émeut. (Entendons-nous: ça ne m’émeut pas vraiment. Je trouve ça juste drôle de dire “ça m’émeut”, c’est sarcastique. Je vous le dirai quand je serai émue pour de vrai.) Surtout la fin. Imagine.

Promenade.

Jusqu’à la fameuse Mathew Street. Manque de temps pour aller sur la vraie Penny Lane.

Le vrai The Grapes, lieu mythique de la naissance des Beatles.

Peace John.

Le vrai The Cavern n’existe plus. Il a été reconstruit l’année de ma naissance. Grandiose !

Bon. Malgré tout, The Cavern est toujours un lieu très prisé sur la scène musicale internationale. Des bands de tous les genres montent sur la scène mythique. L’aura est toujours là. Quoi qu’en pense Benjamin. (Scusez-moi.) Et le fait de descendre dans le 8e sous-sol ajoute au charme.

The Cavern Wall of Fame pis moé. Du ben beau monde. Et si l’envie vous prend, faites-vous plaisir et chantez-donc une petite chanson qui vous rappelle que, dans ce temps-là, la vraie musique existait encore. Un exemple parmi tant d’autre.

Sérieusement, après Liverpool, la vie change. On devient fou. On veut connaître toute la musique du monde. On redécouvre tant de choses oubliées. La musique dans les oreilles, on se surprend à siffler dans les rues et même à chanter. C’est comme un drogue oubliée. Ou du melon d’eau. Trêve de poésie.

Déjà la fin de Liverpool.

Je sais.