vendredi 29 novembre 2013

Dresden ou la vraie fausse ville by night

 

Dans le cadre d’une formation pour les assistants francophones au Carolus-Magnus-Kreis, je me rends pour la première fois à Dresden, la capitale de la Saxe. Je pourrai enfin visiter cette ville que l’on surnomme la Florence de l’Elbe, grâce à son dynamisme culturelle, de nombreux musées aux collections d’art exceptionnelles (mais je ne verrai rien, car je suis ici pour une formation… j’essaierai de revenir au printemps prochain) et surtout en raison de son architecture baroque. Mais bon. Entendons-nous: tout a été bombardé et presque complètement détruite pendant la Seconde Guerre mondiale, mais la ville a été restaurée et reconstruite esthétiquement comme l’originale. Une belle mise en scène de théâtre, quoi.

Mais avouons quand même que, visuellement, le résultat est assez saisissant. Petit survol de soir (formation oblige) de cette ville merveilleusement artificielle.

Pour agrémenter le tout, parce que je pense évidemment à The Dresden Dolls, mais bon je veux pas vous effrayer trop trop, alors on va y aller soft.

Vue du Augustusbrücke qui surplombe l’Elbe. Schloßplatz : au centre Georgenbau et à droite, la Cathédrale de la Sainte-Trinité(Katholische Hofkirche).

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Ah oui. Je sais vraiment pas ce qu’il y avait dans l’aire ce soir-là, si la pluie rendait la lumière particulière, mais je suis assez fière du résultat des photos que j’ai prises!

Fürstenzug, une des fresques les plus belles que j’ai eu l’occasion de voir dans ma jeune vie. C’est une mosaïque de porcelaine qui représente le Cortège des Princes.

2Fürstenzug

La superbe Cathédrale. Se balader à Dresden le soir, avec tous les monuments qui sont savamment éclairés, est vraiment une activité riche pour les yeux. On jurerait du vrai.

3Kathedrale

J’aurais pu passer 3 heures devant Georgentor et admirer ce style néo-renaissance du bâtiment.

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Oui. La photographe amateure que je suis a eu beaucoup de plaisir à immortaliser cette place du château, là où on peut s’amuser à trouver la pierre de Napoléon (Napoleonstein).

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Ok. J’arrête après celle-ci. Promis. Mais c’est si beau. Si grand. Si lumineux. Disons que la ville a mis le paquet pour rendre les promenades nocturnes agréables.

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Parce qu’il faut bien que je vous montre le théâtre.

7Schauspielhaus

Kronentor: l’entrée principale du Zwinger, l’endroit par excellence des festivités des rois de Saxe. Rien de trop beau.

7 entrée

Un des pavillons.

8 Zwinger

Vue de l’intérieur de la cours du Zwinger. J’aurais envie d’être une Reine de Saxe.

9 Zwinger

Un autre pavillon royale. On peut se promener sur la passerelle qui entoure une bonne partie du Zwinger.

10 Zwinger

Glockenspielpavillon : rien de trop beau pour les Rois. Bon, normalement il y a de belles fontaines pour agrémenter cette cours. Mais nous sommes l’automne. Alors on doit se contenter de cela. Dommage.

11 Zwinger

Fontaine dans la cours du Zwinger.

12 fontaine

Voici ce que les Rois pouvaient admirer sur la passerelle. Non, mais. Bon, il pleuvait alors je suis désolée, ce n’est pas la lune que vous voyez, mais une goutte d’eau dans mon objectif.

13 sur la passerelle

La couronne dorée de Kronentors. Même la nuit, sous la pluie, l’or brille.

14 Courone dorée

Dresden sous la pluie. On dirait que la ville brûle. Mais non.

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Les armoiries de Dresden.

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De l’autre côté de l’Elbe, en route vers Neustadt, le Chevalier doré, Goldener Reiter. Et il brille pas mal lui aussi. Représente Frédéric-Auguste de Saxe, grand amateur d’arts, il a choisi Dresden pour capitale. August der Starke était un robuste cavalier, comme en témoigne ce mémorial érigé en son honneur au pied de l’Augustusbrücke.

17Goldener Reiter

Une belle boite aux lettres.

Postebierfkasten

De retour dans la vieille ville, on peut admirer la Frauenkirche. Mais seulement de l’extérieur, car elle est malheureusement fermée au public ce soir. Dommage. Elle est considérée comme l’une des plus belles églises luthériennes d’Allemagne. Dire que ce que l’on voit est une reconstruction…

Frauenkirche

Majestueuse Frauenkirche. Des fois, j’ai presque envie de me convertir.

Frauenkirche 2

Et c’est dans un flou artistique que je termine cette petite escapade nocturne de Dresden. Residenzschloss, Haussmannturm, ma tour préférée.

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J’espère sincèrement pouvoir visiter davantage cette ville, car j#ai vraiment eu l’impression d’une visite expéditive, moi qui aime découvrir les musées, les monuments et le pouls d’une ville lentement… N’empêche, je garde une assez bonne impression, surtout de la Neustadt quartier bien vivant, jeune et dynamique. Une prochaine fois!

samedi 23 novembre 2013

Oberhausen

 

Première fois de ma vie que je voyais une oeuvre en vrai de vrai de Christo et Jeanne-Claude. Artistes contemporains qui emballent des monuments historiques ou des lieux géographiques. C’est à Oberhausen, petite ville reconnue comme possédant le plus grand centre d’achat d’Europe, où j’ai pu voir cette expo. Au Gasometer. Petit vidéo si le coeur vous en dit juste ici.

Il faisait froid et il y avait une odeur d’humidité. Ou peut-être que je suis folle.

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Dedans.

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Dans le ballon d’air. On peut s’y reposer sur des oreillers et admirer le… rien. Blanc. L’air.

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Oui oui. Vous le savez que j’aime monter en haut des choses.

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Bravo.

jeudi 21 novembre 2013

Petite ballade à Düsseldorf

 

Je me suis inscrite à l’université de Düsseldorf, Heinrich-Heine-Universität. J’irai donc à chaque semaine dans cette ville qui me laisse plutôt perplexe. Même si cette ville est la capitale de la région et aussi la capitale de la mode, je trouve qu’il y a quelque chose de faux, de surfait et de snob qui se dégage de cette ville. Quand les jeunes de 20-23 ans sont fiers de porter un complet-cravate un mardi soir, je crois que c’est une information qui en dit long sur le type de personnes qui vivent là…

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Voici le chic canal de la Königsallee, là où on retrouve les grands magasins.

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Le Kunstammlung, musée d’art contemporain qui a l’air assez bien, mais que je n’ai pas encore visité parce que je préférais errer dehors sous le soleil…

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Sarah Morris, Hornet, 2010. Paul-Klee-Platz, juste derrière le musée.

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Les vieilles maisons des années 1900, juste en face de l'auberge de jeunesse, de l’autre côté du Rhin (Oberkassel). Le levé du soleil brûle les fenêtres…

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Toute bonne ville à sa tour de télévision. Ici, Rheinturm.

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Petite ballade le long du Rhin, le matin.

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Le vieux-port et Medienhafen.

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Der Neue Zollhof, de l’architecte Frank Gehry, sur les bords du Rhin.

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Der Neue Zollhof, partie en reconstruction. Et Rheinturm derrière.

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Colorium, Medienhafen.

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Roggendorf Haus dans le Medienhafen.

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Plus près de ces figures étranges et colorées qui escaladent le building.

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Rheinturm, vue du pont dans le port des médias. On peut voir le pont derrière où se rejoignent le Rhin et la Düssel.

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Je sais plus c’est quoi, Medienhafen. Je pense que c’est un resto.

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Medienhafen, éblouit par tant de soleil.

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Chaque ville qui se respecte et son bout de Mur.

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Rheinturm et le Landtag Nordrhein-Westfalen. Parlement régional de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, affectueusement surnommé “die Schnecke”, l’escargot à cause de sa forme qui ressemble à ce délicieux animal.

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Paysage rural. Quelque part.

dimanche 17 novembre 2013

Rotterdam ou la ville du futur

 
Premier "vrai" voyage de l’année, destination –> Rotterdam, Pays-Bas. Comme je suis déjà allée quelques fois à Amsterdam, j’avais envie de découvrir une autre ville. Et comme je possède quelque chose qui va changer ma vie cette année, à savoir le fameux Semesterticket qui me permet de voyager avec tous les trains régionaux de NRW (Nordrhein-Westfalen) gratuitement, vous comprendrez si vous avez un minimum de talent pour le géographie, que la frontière des Pays-Bas est à 65 km, soit plus ou moins l’équivalent de Montréal-Joliette. Faque tsé. Je risque de passer pas mal de temps au pays du gouda.
 
Petit clin d’oeil : J’aurais voulu être un artiste, pour pouvoir faire mon numéro quand l’avion se pose sur la piste, à Rotterdam ou à Rio
 
 
Alors on commence toute petite promenade qui se respecte par la gare, ici Centraal Station. Nationale Nederlanden surplombe la gare joliment.  Conseil: nous avons acheté la Rotterdam Welcome Card, car pour 13,50€, nous avons droit au transport en commun gratuit pour 48h et plus de 50 activités avec des réductions. Alors ça vaut la peine pour les petits budgets et ceux qui souhaitent découvrir la ville en 3 jours remplis au max!
 
Vous pouvez arrêter Claude Dubois et écouter ceci à la place pendant votre lecture!
 

Nature morte. Jésus vous aime !!! Même aux Pays-Bas les amis.
 

Oui oui. Cette chose étrange est une église. Je te salue ô toi, sainte architecture qui me donne quasiment le gout de croire en quelque chose de divin!
 

De l’art sur le bord de l’eau. Laissez aller votre imagination…
 

On est au Pays-Bas. C’est l’amour entre les cyclistes et les motocyclistes. Partout.
 

Voici une des rues les plus merveilleuses que j’ai vues de ma vie: la Witte De Withstraat. Avec ses enseignes lumineuses de style néon suspendues aux arbres, on a l’impression de pénétrer un peu dans un autre monde. C’est une rue très animée, remplie de cafés, de musées et de galeries d’art. C’est vraiment un artère culturel, l’axe artistique de Rotterdam, quoi! Nous sommes donc allées découvrir le Witte de With (le centre d’art contemporain), le Tent/Centrum Witte de With,  le WORM (institut de loisirs avant-gardistes, vraiment un lieu étrange et surprenant) et le Showroom mama (qui était malheureusement fermé).
 

L’art suspendu.
 

Noir. Cool. Blanc. Amour.
 

Veerhaven. Un lieu historique qui sert de passage pour les voiliers historiques.
 

Bateaux. Certains sont très vieux, semble-t-il.
 


Rotterdam. Pour que vous me croyiez. 
 

Petite balade sur les quais.
 

C’est un après-midi plutôt sombre auquel nous avons droit. N’empêche. C’est joli, non?
 

La tour que nous apercevons au loin c’est New Orleans, une des plus hautes tours résidentielles des Pays-Bas  (160m).
Devant, le truc qui a l’air d’une console de jeu vidéo, c’est le musée de la photo néerlandais.
 

On admire cette superbe vue du pont, Erasmusbrug.
 

Cette chose plutôt laide, c’est Euromast. La tour de communication, genre. C’est même pas haut. Même si c’est la plus haute tour ouverte au public des Pays-Bas (185m). Mais comme son nom l’indique, les Pays-Bas c’est un pays bas… Mais la traversée dans le joli Het Park en vaut le coup!
 

Konigin Emmaplein.
 

Kijk-Kubus, les célèbres maisons-cubes, de l’architecte Piet Blom. Le concept : vivre dans des toits urbains.
La rangée de maisons que vous voyez au-dessus, est en fait un pont que Blom a construit et aménagé de façon pour le moins originale pour l’artère entre Blaak et Oudehaven.
 
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La station Blaak où se trouve les maisons-cubes, mais aussi la place du marché qui est super dynamique le samedi. Nous avons eu de la chance! Mmm manger des bons goudas…
 

Confrontation architecturale.
 

Le design représente un village sans la ville et chacune des maisons est censée être un arbre ; toutes les maisons réunies représentent la forêt.

La plupart de ces maisons sont habitées. C’est un peu étrange, car lorsqu’on pénètre dans la “cour intérieure” il y a un peu de tout: un coiffeur, une petite épicerie, un salon d’ongles… Bref, ça doit pas être donné!
 



C’est d’ailleurs possible de visiter l’une de ces maisons pour presque rien avec la Welcome card. Je sais plus trop combien, mais genre moins de 3€. On peut aussi dormir au Stayokay.
 




 
Une fois de plus, les 2 types d’architectures étonnent.
 




Alors après s’être régalées de fromages et autres petites choses succulentes au marché, nous voilà devant la Stadhuis, l’hôtel de ville. Et nous avons eu d’ailleurs une petite réflexion étymologique sur les langues. En néerlandais = Stadhuis, littéralement, maison de la ville. En allemand =Rathaus, littéralement la maison du conseil. En anglais = city hall, littéralement château/manoir de la ville. On comprend que c’est la mairie ou l’hôtel de ville, c’est drôle de se prêter à ces quelques digressions linguistiques pour comprendre l’importance qu’on accorde à de tels établissements, non?
 

La pointe dorée. Il est 13h06.
 

Encore une fois, une chose étonnante: Politie, la police. Vous trouvez pas que ça sonne “poli” ou “politesse”?  Non, mais tsé. On a le gout de se faire arrêter. Sans blague.
 

Lieu intéressant juste à côté du poste de police.
 

Quelque chose.
 

Immeuble quelconque. Genre. Je suis sous le charme, Rotterdam.
 

Le théâtre Luxor, premier bâtiment que l’on voit lorsqu’on arrive à Wihelminaplein.
 

Petite vue du Rijnhaven.
 

Paysage futuriste. Drijvend Paviljoen (les 3 boules qui semblent être un centre technique, on n’a pas trop bien compris).
N’empêche. C’est quand même assez surprenant, non?
 

Le bord de l’eau. Architecture décalée.
 

Le célèbre Hôtel New York, au centre. Un magnifique bâtiment historique.
 
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Photo © Amélie Branconnier
Nieuwe Maas, la nouvelle Meuse, et le Erasmusbrug (pont Erasme), l’emblème de Rotterdam. Et moi qui saute de joie!
 
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Photo © Amélie Branconnier
Canada represent.
 

Une fois de plus, le musée de la photo et les tours.
 

Le pont Erasme est aussi appelé le Cygne. Je sais pas, mais ça vous dit pour la reconstruction du pont Champlain? Je dis ça de même là…
 

Taxi!
 

La belle tour New Orleans de plus près.
 
 
Voilà à quoi ça ressemble se promener là…
 
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                             Photo © Amélie Branconnier                          
                             Moi qui pose fièrement devant le musée de la photo.  Musée génial.  
                         
 
De Rotterdam NHow, des hôtels vraiment impressionnants. Leur slogan c’est : “elevate your stay”. C’est vraiment récent comme construction (terminée en 2013) et le tout forme une ville verticale avec des appartements, des bureaux, des boutiques, des cafés, un centre de fitness… ya rien de trop beau!
 
 
La vue dessus le pont. Le vent est au rendez-vous! 
 

Art.
 

Autre perspective.
 

Je sais pas c’est quoi, mais c’est un building design.
 

Intersection.
 

Fenêtre.
 

Molen De Distilleerketel, un moulin. Parce que c’est pas les Pays-Bas sans un moulin!
 
 
Petit quartier vraiment pas touristique, mais trop mignon.
 

Dans cette rue, nous avons sustenté notre soif. Même la barmaid parle mieux le français que l’anglais!
 
 
Boite aux lettres.
 

Witte De Withstraat, la nuit. Néon et Andy Warhol sur les murs.
 
 
Nuit.
 

Métro? McDo?
 
 
Mur.
 
 
Rail de nuit.
 
 
Dans un petit bar de quartier sympa, le Vagabond. C'est une autre rue assez festive, Nieuwe Binnenweg, où on trouve plein de petits bars et cafés. Les gens sont beaux. Et gentils.
 

Est-ce que je suis la seule à trouver cette pancarte vraiment drôle? Kiss and ride!
 

Dans le métro futuriste.
 
 
Sur les tapis roulants futuristes.
 

Sur le quai de métro futuriste.
 
 
Métro Blaak, une fois de plus.
 

Bibliothèque futuriste. Est-ce que je suis la seule à imaginer que du dernier étage, les bibliothécaires envoient les livres dans les conduits jaunes?
 
 
La place du marché futuriste, Binnenrotte.
 

Poubelle futuriste.
 

Wijde Kerkstraat, large rue de l’église.
 
 
L’église, Laurenskerk. La seule église au monde qui est fermée le dimanche. Est-ce que j’ai dit que Rotterdam n’était pas une ville comme les autres? La statut de bronze, une des plus vielles des Pays-Bas, c’est Erasmus.
 

Pause philosophique.
 
 
Dans le quartier étudiant, parait-il.
 

Une fois de plus, le choc entre l’architecture moderne et ancienne.
 
 
Oudehaven.
 

Le Willemsbrug, le pont rouge.
 

Autre plan superbe de ce petit coin paisible.
 

Sur les murs qui nous mènent aux maisons-cubes, il y a ces écriteaux. Celui-ci signifie plus ou moins selon ma connaissance du néerlandais (parce que, oui, comprendre l’allemand ça aide à comprendre le néerlandais!) : les villes qui ne cessent de croître dans dans le monde deviendront de silencieux villages inhabités.
 
 
Une maison (un toit) = amour…
L’amour = le toit de la ville 
 
 
Et voilà. C’est la fin. Pour cette fois, du moins. Je veux revoir cette ville l’été. Et l’hiver. Franchement, j’ai eu un énorme coup de coeur pour Rotterdam!